dimanche 27 mai 2012

Tristes comiques...

Samedi 26 mai, France 2. Patrick Sabatier reçoit la "fine fleur" des comiques de demain.
Triste bilan.
Il ne suffit pas de se revendiquer de Desproges pour lui arriver à la cheville.
Dans un ensemble insipide et aux discours placés souvent au-dessous de la ceinture, avec semblants de provocations tous azimuts qui ne font trembler personne, seuls quelques éléments ressortent, comme Walter, un belge à l'humour ... belge proche de Gelluq, une ex-avocate aux talents indéniables de comédienne, et un ventriloque qui modernise tant soit peu le genre.
Pour ceux et celles qui n'auraient pas vu cet insipide panorama, il y a une session de rattrapage : en effet, ils seront quasiment tous à Avignon "du 3 au 28 juillet", sauf un (le belge !) qui lui sait déjà qu'il y sera en 2013. 
Essayons un peu d'humour : il n'est pas au courant que le fin du monde est programmée pour décembre 2012 ;-))

samedi 26 mai 2012

Recul sur le changement

La marmotte ayant pris quelques vacances pour aller voir ses cousines dans les Alpes revient au bercail pour réagir aux changements politiques.
D'abord, pour le jour de la prise en charge de la fonction présidentielle, de la satisfaction pour une orientation "d'entrée" sur le sujet de l'école et de la recherche, avec les hommages à Jules Ferry (accompagné avec bonheur d'un iota mis sur l'aspect colonialiste de la personne) et à Marie Curie.
Mais aussi une réaction négative face à la déplorable invitation par SMS des sympathisants UDF afin de venir huer les nouveaux arrivants dans le cour de l’Élisée. C'est bas, digne de la cour d'école, et bien significatif de la mentalité des nantis ayant perdu leur principal support.
Pour la suite, une immense déception (je rigole !) en sachant que le couple non marié ne pourra pas être reçu dans certains pays, et surtout ... au Vatican !!!
Puis (et là je suis sérieux !) une profonde "débectation" face à l'absence d'Eric Besson (déjà parti travailler dans le privé !) lors du passage de pouvoir dans son ministère. Ceci est très grave (et significatif d'une mentalité que l'on espère révolue), beaucoup plus que le jean de Mme Duflot.
Passons sur "l'erreur de jeunesse" de Vincent Peillon ; il est toutefois important de faire passer l'intérêt des enfants avant celui des professionnels du tourisme, même si cela peut être préjudiciable à la relance. Laissons le temps au temps, excusons certains premiers balbutiements inévitables lorsqu'on lance une équipe résolument nouvelle. Et espérons que le changement; sans être vraiment pour maintenant, soit pour très vite !