lundi 25 juin 2012

France Inter : nous voulons du talent et moins de parisianisme !

Aujourd'hui encore, un prétendu chroniqueur du nom de David Azencot a "fait fort" (si l'on peut dire !) aux Affranchis d'Isabelle Giordano. On y parle du festival de la correspondance. "C'est où Grignan ?" "Les Provençaux (il est vrai après 16 heures 30 tout de même) ne font rien". Ça suffit ! Virez-moi tous ces pseudo humoristes à la voix auto-satisfaite (Régis Mailhot, sors de ces corps !) et aux propos rasant les pâquerettes.
A quand le retour de vrais talents, des Vincent Roca, Carlier Guillon, Porte ? Ou alors, recrutez-en de nouveaux en ces temps de transferts. Il doit bien y en avoir un ou deux parmi la pléthore de "nouveaux comiques français" que l'on nous présente en radio et en télé. Et il est facile de les repérer ! en ce moment, ils ne sont plus à Paris : ils vont tous être à Avignon !

vendredi 22 juin 2012

Maréchal, nous voilà !

On aurait voulu le faire exprès, on ne s'y serait pas pris autrement. S'appeler Maréchal pour une élue FN - et quelle élue, celle que son grand-père dit être de "bonne race", ça ne s'invente pas non plus ! - tout un programme ;-)
Même si elle préfère se recommander de Tata que de Pépé, on peut se demander comment une gamine de 22 ans peut connaître assez le monde et la politique pour être d'un quelconque poids à l'assemblée. Et ce, d'autant plus qu'elle aura du mal à garder une image de "propre sur elle" au contact du député Collard, auto-proclammé "casse-couilles" du futur hémicycle. 
De toutes façons, dans le midi, leur parachutage a du mal à souffrir la comparaison avec celui, à une époque, d'un certain Jean Moulin !!!

lundi 11 juin 2012

Deux poids, deux mesures

Les agités de l'UMP, avant de se battre entre eux pour se trouver un nouveau petit chef, ont été obligés de se réunir pour décider que faire au lendemain de leur défaite aux législatives.
Et ils ont choisi Nini, renvoyant PS et FN dos à dos en les mettant sur le même plan. Or, il faudrait un peu rappeler l'histoire contemporaine. Je regrette, mais les camps de concentration ont accueilli plus de communistes que de pétainistes. Ce n'est donc pas la même chose que e s'allier au FN (ce qu'a déjà fait le maire des Saintes Maries de la Mer) que de s'allier au Front de Gauche. Voir aussi Mme Morano. Mieux faut en effet soutenir les parachutés en Vaucluse et dans le Gard. Et finalement, M; Estrosi a raison : l'UMP n'a rien de commun à partager avec les socialistes ;-)).
Ceci, même pris a le sourire, est tout de même très grave : Marine Le Pen a déjà ouvert la porte à des agissements inadmissibles en démocratie, en publiant une "liste" noire de gens à battre. Qu'est-ce qu cette manière de faire, sinon une pratique qui remet au jour des habitudes connues dans des régimes fascistes de triste mémoire ?

Vivent les canards, l'Ariège, et merde à Paris

A midi, aux "Affranchis" sur France Inter, on parle des musiques utilisées pour faire la fête. Et on précise que la"Danse des canards" est passée de mode, sauf en Ariège.
Sûr qu'il y a des canards en Ariège, et heureusement pour les Parisiens aimant le foie gras.
Il n'est pas obligé, toutefois, de prendre les Ariégeois pour des ringards. On s'y amuse certainement de manière plus naturelle que dans les boîtes parisiennes, et l'herbe n'y est pas la même ;-)
A part ça, après être "descendus" à Cannes (où les malheureux n'ont pas eu très beau temps), les Parisiens s'apprêtent à "descendre" à Avignon. Et en première ligne tous les pseudo nouveaux comiques qui galèrent à Paris. Suivront de près les "bobos" fans de "théââââtre". et ils remonteront ensuite vers les brumes et les embouteillages, loin de la France profonde qu'ils aiment bien dénigrer mais qu'ils sont les premiers à jalouser ;-)

mercredi 6 juin 2012

Tristes comiques suite

Entendu plus grave ce matin sur France Inter : le tiste sire Artus de Penguern, encouragé par les rires de Pascale Clark et de sa clique, a fait l'apologie de la violence en pensant qu'il était de bon goût de critiquer la fête des voisins. Il a demandé qu'on les assaille plutôt avec entre autres des battes de base-ball, au lendemain  d'une attaque de 10 énergumènes qui à Lyon ont battu à coups de marteau 3 juifs qui avaient commis le crime horrible de porter une kippa.
Outre (encore une fois me direz-vous) les dérives imputables aux religions, il faudrait attaquer ledit Artus non à coups de batte ou de marteau (mais voire à coups de pieds au cul) pour incitation à la haine que vous voudrez. S'il est vrai que l'on peut rire de tout, il faut commencer au moins par faire rire. Et là, ça fait plutôt gerber !