Prêter de l'argent à un pays qui ne peut rien rembourser, où la corruption règne depuis des décennies dans un milieu politique gouverné de manière occulte par des armateurs domiciliés fiscalement à l'étranger, n'est-ce pas un peu risqué ?
Prêter à 5 %, n'est-ce pas une manière de se faire de l'argent sur le dos de ces pauvres grecs ?
Ne vaudrait-il pas mieux faire sortir - momentanément - la Grèce de la zone Euro pour lui permettre grâce à une baisse mesurée de la valeur de sa monnaie de relancer son économie et de pouvoir à moyen terme se redresser elle-même et rejoindre à nouveau les "bons élèves" de l'Europe ?
Des questions d'importance, dans un système global où l'"effet papillon" met de plus en plus l'équilibre mondial (si tant est qu'il y en ait un, faudrait savoir ce qu'en pensent les pays pauvres) en difficulté !
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