La marmotte a été discrète ces derniers temps, une forme d'hibernation tardive ...
Mais elle se réveille pour s'inquiéter très sérieusement du devenir de l'école en France.
Ces derniers jours nous ont en effet amené dans l'actualité de bien inquiétantes nouvelles : attaques de personnes dans les établissements et même près de chez elles, règlements de comptes entre élèves avec une violence non atteinte jusqu'ici, voilà qui n'est pas nouveau et qui ne fait que découler à la foi d'un laxisme certain au niveau des établissements et d'une gradation dans la violence qui inquiète la police elle-même.
Les suppressions de postes, même si on semble y revenir pour le primaire (d'une manière toutefois moins spectaculaire que le recul sur les radars par exemple), vont handicaper le secondaire. Des classes vont disparaître, pénalisant des villages ruraux ou de montagne. Et les effectifs par sections vont mathématiquement augmenter. Rien de nouveau hélas là non plus.
Mais deux faits récents semblent, chacun dans leur genre, porter en eux une grande inquiétude. Le premier, c'est le "speed dating" organisé pour recruter des remplaçants. Plus besoin de diplômes, plus besoin de formation : on se "vend" en 7 minutes et on est enseignant ! Drôle de façon de concevoir le métier !
Le seconde c'est le décès de ce jeune élève retrouvé pendu à un porte-manteau alors qu'il avait été "mis à la porte". Dramatique situation. Je me mets à la place de l'enseignante ; quelle responsabilité morale ! Mais quel enseignant n'a jamais sorti un élève de la classe, quel élève n'a pas été acteur ou témoin de cette chose-là ?
Un tel "accident" malheureusement est toujours possible et risque de devenir plus fréquent si l'on ne donne pas de vrais moyens aux enseignants pour "tenir" leurs élèves, si les établissements continuent à appliquer la "politique de l'autruche" pour ne pas passer comme école, collège ou lycée à problèmes.
Il serait vraiment temps qu'une reprise en mains se fasse. L'école, c'est aussi l'école de la vie, on y apprend les vraies valeurs, et ce ne doit pas être les modes de vie actuels qui doivent rentrer dans l'école !
Mais elle se réveille pour s'inquiéter très sérieusement du devenir de l'école en France.
Ces derniers jours nous ont en effet amené dans l'actualité de bien inquiétantes nouvelles : attaques de personnes dans les établissements et même près de chez elles, règlements de comptes entre élèves avec une violence non atteinte jusqu'ici, voilà qui n'est pas nouveau et qui ne fait que découler à la foi d'un laxisme certain au niveau des établissements et d'une gradation dans la violence qui inquiète la police elle-même.
Les suppressions de postes, même si on semble y revenir pour le primaire (d'une manière toutefois moins spectaculaire que le recul sur les radars par exemple), vont handicaper le secondaire. Des classes vont disparaître, pénalisant des villages ruraux ou de montagne. Et les effectifs par sections vont mathématiquement augmenter. Rien de nouveau hélas là non plus.
Mais deux faits récents semblent, chacun dans leur genre, porter en eux une grande inquiétude. Le premier, c'est le "speed dating" organisé pour recruter des remplaçants. Plus besoin de diplômes, plus besoin de formation : on se "vend" en 7 minutes et on est enseignant ! Drôle de façon de concevoir le métier !
Le seconde c'est le décès de ce jeune élève retrouvé pendu à un porte-manteau alors qu'il avait été "mis à la porte". Dramatique situation. Je me mets à la place de l'enseignante ; quelle responsabilité morale ! Mais quel enseignant n'a jamais sorti un élève de la classe, quel élève n'a pas été acteur ou témoin de cette chose-là ?
Un tel "accident" malheureusement est toujours possible et risque de devenir plus fréquent si l'on ne donne pas de vrais moyens aux enseignants pour "tenir" leurs élèves, si les établissements continuent à appliquer la "politique de l'autruche" pour ne pas passer comme école, collège ou lycée à problèmes.
Il serait vraiment temps qu'une reprise en mains se fasse. L'école, c'est aussi l'école de la vie, on y apprend les vraies valeurs, et ce ne doit pas être les modes de vie actuels qui doivent rentrer dans l'école !
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